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" Nous devons être sensibles à la détresse de l’enfant mais gardons-nous
d’étiqueter celui-ci de façon trop stricte, comme le poussin blessé, pitoyable
et nécessitant un support perpétuel…Plus fondamentalement, nous sommes invités
à faire confiance à la résilience de nos enfants. Elle est démontrée chaque
jour par le monde, par tant d’enfants qui passent par l’horreur, en réchappent
puis se remettent à croire à la vie… " (Leclercq et Hayez dans " Le deuil
compliqué et pathologique chez l’enfant ")
" Nos enfants transposent à la maison l’attitude d’ouverture acquise au sein du
groupe, ce qui a pour effet de favoriser la communication avec eux. Ils
observent parfois une diminution des comportements problématiques et des
malaises (anxiété, isolement) qui pouvaient peut-être cacher des messages que
l’enfant a pu exprimer. " (Un parent ayant inscrit ses enfants au groupe)
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